Changement d'adresse!
Pour me suivre sur mon nouveau blogue : http://koraboyer.wordpress.com
Au plaisir!
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Y'a des choses qui me rendent le sourire des fois, comme recevoir un courriel comme ça :
Hier, j'ai reçu ma première paie en tant que journaliste pigiste. Oh, ce n'était pas un gros montant, mais je suis quand même fière d'être payée pour un travail qui est dans mon domaine d'études et surtout pour faire ce que j'aime! Aussi, dans le journal de cette semaine, je signe 4 articles, un sur la conférence "Les salons de thé et la tempérance" de la Société d'Histoire de Buckingham, le portrait d'une artiste de chez-nous, Pauline Tambeau, avec qui j'ai adoré m'entretenir, un publireportage sur une station service fêtant ses 57 ans d'activité, Price Service Station, ainsi qu'un article sur un nouveau projet du Marché Notre-Dame à Gatineau. Je suis aussi fière de dire que deux de mes photos forment la page couverture du cahier spécial sur le secteur Buckingham!
N'hésitez pas à commenter si vous avez lu mes articles, ça me fera plaisir de vous lire!
Aujourd'hui, c'est un jour spécial. Le jour de l'anniversaire de l'homme de ma vie. Celui qui a toujours été là pour moi, et ce depuis mon premier jour. Celui avec qui j'ai appris à rire, à parler, à écrire, à compter. Celui qui, un jour, a eu la merveilleuse idée de concevoir la conceptrice de ce blog. Celui à qui je dois tout. Le premier homme qui m'ait encouragé, épaulé, aimé. Celui qui a cru en moi bien souvent plus que je ne pouvais le faire.
J'ai toujours considéré que j'étais une fille à papa. Ma propre mère dit que c'est une mère pour moi, et je lui donne raison. Mais au-delà de ça, mon père, c'est le meilleur papa du monde. La preuve :
Merci d'avoir fait de moi la petite femme que je suis. Je te le dis souvent, mais maintenant je l'écris publiquement : JE T'AIME!
Je reviens de passer quatre jours dans le secteur de la Grosse Pomme. Quatre jours merveilleux où j'ai pu admirer pour la deuxième fois cette ville qui, selon moi, fait partie de mon top 3 des villes à visiter dans le monde. Durant ces quelques jours, j'ai pu vivre la frénésie de Times Square, admirer la beauté de Central Park, voir deux (oui, deux!) spectacles sur Broadway, manger du chocolat et même me faire photographier avec Mickey et Minnie (ils sont partout, ces deux-là!)
Pour ce qui est de Broadway, nos choix se sont arrêtés sur Rain, un hommage aux Beatles, que nous sommes allés voir en après-midi, et sur Wicked, une comédie musicale qui raconte l'histoire de la méchante et de la bonne sorcière d'Oz avant la venue de Dorothy, que nous avons vu le même soir.
J'avais déjà vu plusieurs hommages aux Beatles dans ma vie. En fait, j'ai grandi au son de leur musique, puisque mon père a plusieurs CDs d'eux à la maison. Mais chaque spectacle-hommage a quelque chose de spécial, et celui-ci ne faisait pas exception. D'une durée de deux heures dix minutes avec entracte de 20 minutes, les gens se retrouvent vite replongés dans l'ambiance des années 60. Le montage vidéo est réalisé en partie par un Québécois, Mathieu St-Arnaud, qui a entre autres travaillé pour le Cirque du Soleil, Céline Dion, The Killers, Justin Timberlake, Linkin Park, les Juno Awards et l'Orchestre symphonique de Montréal. Le fab four est incarné par Steve Landes, Joey Curatolo, Joe Bithorn et Ralph Castelli. Les chanteurs semblent fidèles à leurs personnages, mais je dois avouer que Ringo m'énervait parfois avec son petit sourire niais. Vive les caricatures!
Pour ce qui est de Wicked, ce fut sans contredit mon spectacle préféré, sûrement parce qu'enfant, j'avais apprécié le Magicien d'Oz. Le décor, les costumes, la musique... tout était parfaitement sublime. Ce spectacle est une magnifique histoire d'amitié, reliant à merveille histoire originale et détails du film. Les deux actrices principales, Teal Wicks et Katie Rose Clarke, sont drôles et attachantes, et ont des voix merveilleuses. Un spectacle qui vaut la peine d'être vu, malgré le cher prix du billet.
Sinon, durant mon voyage, j'ai séjourné dans le secteur de Brooklyn, et j'y ai découvert selon moi la meilleure pizza au monde. Grimaldi's Pizzeria nous offre les ingrédients de base d'une vraie pizza italienne auxquels nous pouvons choisir nous-mêmes ce que nous voulons ajouter. Pour ma part, j'ai adoré ma pizza garnie de pepperoni, fromage mozarella, sauce tomate, saucisse italienne et champignons. Je suis même un peu déçue qu'ils ne livrent pas au Canada.
Bonjour tout le monde!
Je sais, je n'ai pas mis à jour mon blogue depuis longtemps. Mais bon, avec mon (déjà ancien) emploi au gouvernement, j'arrivais toujours à la maison exténuée. J'ai bien aimé mon expérience, les gens étaient gentils (bien qu'il y ait toujours des exceptions) et les tâches étaient quand même valorisantes. J'aurais pu y travailler plus longtemps, mais à cause de la grève chez Postes Canada, la charge de travail n'était pas assez grande pour toute l'équipe.
Je n'étais pas certaine de mon avenir. Allais-je attendre 6 autres mois avant de trouver un emploi? Allais-je retourner au gouvernement? Et puis, ce que je croyais impossible est arrivé : j'ai envoyé un CV à un journal local dans l'espoir d'avoir au moins un poste en ventes, et on m'a recontactée... pour être pigiste!
J'écris donc maintenant pour le West Québec Post, un journal anglophone qui couvre les secteurs de Buckingham, Gatineau, Aylmer et Wakefield. Dans l'édition d'aujourd'hui, je signe deux textes, soit un sur le projet de nouvelle coopérative de santé à Buckingham et un sur le projet Vélos de Quartier, qui permet aux familles à moindre revenu de se procurer des bicyclettes gratuitement dans le secteur. Et surprise! Ce texte est en première page!
Si vous réussissez à vous procurer un exemplaire du journal et que vous me lisez, n'hésitez pas à m'écrire vos commentaires!
Avertissement : Maman, si tu lis ceci au bureau, ARRÊTE DE LIRE. Je ne voudrais pas que tu pleures au bureau! ;)
Aujourd'hui, c'est officiellement le printemps. En fait, c'est le printemps depuis hier soir 20 h 30, mais c'est un détail. J'ai toujours associé le printemps au 21 mars, parce que c'était l'anniversaire d'une personne importante dans ma vie. C'est la fête de ma maman!
Quand j'étais petite, j'étais proche de ma mère. Je lui racontais mes journées en détails, elle connaissait tous mes secrets. C'était un peu comme ma meilleure amie. Avec les années, notre relation a connu des hauts et des bas, mais ma mère, c'est ma mère, je n'en ai qu'une et je l'aimerai toujours.
Ma mère et moi, on est différentes. Elle a un caractère bouillant; je suis timide et réservée. Elle ne parle presque pas anglais, je le parle couramment et l'écrit sans difficultés. La musique que j'écoute lui tappe souvent sur les nerfs. Côté garçons, nos critères de beauté sont aussi très différents, et de toute façon, je crois que si elle continue à ajouter des critères à sa liste pour le gendre parfait, personne ne sera jamais assez bien pour moi! Haha. Elle nourrit pour moi des espoirs grands comme l'Univers, et même si des fois, je me sens un peu opressée, je sais qu'elle ne veut que mon bonheur. Ma mère n'est pas habituée aux grandes déclarations d'amour; moi, je rêve d'en recevoir à tous les jours!
Ma mère et moi, on se ressemble aussi. Physiquement, mais aussi sur certains points de notre personnalité, comme :
Ma mère est aussi très sensible malgré son caractère. J'aime lui parler de mes amis car même si nos opinions ne sont pas toujours les mêmes, elle sait me conseiller.
Je lui ai écrit ce billet en surprise car je voulais lui dire que je l'aime, et que je la remercie. Parce que malgré tout, elle reste à mes côtés. Parce qu'elle fait tant de choses pour moi. Parce qu'elle a eu le courage de m'accepter et de m'offrir une belle vie.
Maman, je t'aime, et sans toi, je ne serais pas là (littéralement!)
You're simply the best...
Hier, pour fêter mon nouvel emploi, moi, mes parents et deux de mes amies sommes allés manger du thaï. "Enfin!", dirais-je, puisque cela faisait presque un an que je tannais mes parents pour ça. Ils me disaient toujours "Quand tu auras ton premier emploi, on t'emmènera." Et j'ai enfin réussi! Bref, c'était ma soirée de petites victoires personnelles.
Nous sommes allés à l'excellent restaurant Prasat Thai, situé au 69 Boulevard Gréber à Gatineau. Pour 21,95$, j'ai eu droit à un repas complet, soit une soupe thaï subtilement épicée, deux rouleaux de printemps au poulet avec leur sauce aux arachides, un nid d'amour au porc et des biscuits aux amandes, servis avec café ou thé (mais moi, je préfère le thé, parce que je suis une reine déchue!) Le tout accompagné de mon vin fétiche, le Pétale de Rose, un excellent souvenir de mon voyage en France effectué à la fin de ma sixième année, où j'ai eu la chance de visiter l'endroit où on fabrique ce fabuleux vin rosé. J'ai même couché dans des châteaux (quand je vous disais que j'étais une reine!), mais ça, c'est une autre histoire!
Après cet excellent repas où j'ai, comme à mon habitude, trop mangé et peu bu, nous sommes allés au cinéma des Promenades de L'Outaouais, le Ciné-Starz, pour voir le film Sanctum, film choisi par ma meilleure amie.
Ce film raconte l'histoire d'un groupe d'explorateurs sous-marins qui ont pour mission de découvrir les secrets de la plus grande grotte du monde, Esa'ala, située en Papouasie-Nouvelle Guinée. L'expédition tournera au drame lorsque les cinq équipiers, dont le chef de l'exploration, Frank McGuire, se rendront compte qu'un cyclone rugit à l'extérieur et que leurs heures de vie sont peut-être comptées...
Le long-métrage, réalisé par James Cameron, est basé sur une histoire vraie, et se concentre surtout sur la relation père-fils entre Frank (Richard Roxburgh) et Josh (Rhys Wakefield). D'abord éloignés par toutes sortes de facteurs, on se rend compte que l'instinct de survie rapproche souvent les gens.
J'ai aimé ce film, pour l'histoire, mais surtout pour les magnifiques images à l'intérieur et à l'extérieur de la caverne. Spectaculaire!
C'est fou comme la vie peut être surprenante, des fois. Une minute avant, j'avais encore le goût d'hiberner jusqu'à ce que le printemps arrive. Et puis là, le téléphone a sonné, sans que je lui aie demandé. Et de fil en aiguille, je deviens une grande personne : demain, je vais signer mon premier vrai contrat d'embauche à vie. Bon, ce n'est peut-être pas en journalisme, mais je suis heureuse quand même parce que :
Alors je ne dors plus. Je suis comme une petite fille qui attend le Père Noël, j'ai trop hâte!
Mais, mais, mais, il y a toujours un mais. Une petite voix dans ma tête, qui se questionne :
Ce genre de trucs. J'ai déjà dit à un de mes amis : "Quand je vais avoir une job pour vrai, je ne le croirai pas." C'est vrai. C'est trop beau pour être vrai. Même si ce n'est pas dans mon domaine d'études. Et au fond, j'ai un peu peur que demain, tout ça se volatilise. Comme quand on se réveille après avoir rêvé au prince charmant et que finalement, on est toute seule dans son trop grand lit. Déception.
Je vous en donne des nouvelles bientôt! xox